llundi de pentecote cote cote cote PoUlEtTe !!!!!!

c'est paris ça djoe. le paris que tant de gens rejètent, bah c'est celui où la chaleur de l'autre nous est un bienfait. l'anonymat, la solitude voulue au milieu du "tu peux compter sur moi et je veillerai sur toi"........

Paris, prendre ta seine qui bifurque sur le canal. Canal qui decouvre, solitaire, les dessous de la bastille pour ensuite effleurer Republique de ses eaux. A Republique se donner libre court jusqu'au temple. C'est ici qu'on decouvre les remparts du marais et la rue des archives. Arriver directe sur l'hotel de ville et faute de place foncer sur Chatelet. Puis par peur, remonter rien qu'un instant aux botzaris, voir s'elever les buttes Chaumont. Ne plus quitter le nord-est pour finir au pere-lachaise par une bonne sieste qui pour une fois, pour les residents, ne sera pas eternelle.
Descendre la rue de Belleville, la bifurquer sur la droite pour un tres bon pinard puis tomber sur Goncourt. Bruler les étapes et flaner sur la butte aux cailles, boire un verre au merle moqueur pour finir dans le sixieme, au champo, devant un film de Wilder.
Enfin fatigué de l'agitation du Monde, descendre sous terre pour, comme dit naila retrouver l'anonymat, la solitude voulue au milieu du "tu peux compter sur moi et je veillerai sur toi"........

ah j'oublais, j'emmerde les grevistes parigos de la pentecote!

JOe a écrit:

bab desolée mais je suis comme tu dis une petite smicarde à la semaine lol

Pfff....tu sais tres bien que ce n'est pas des gens comme toi ou moi dont je parle. On a pas une tune mais on est pret a partir une journée sans probleme oui...
Je parle de ceux qui ont tellement d'emmerdes et de soucis et de dettes qu'on devrait "forcer" a aller aider les autres alors qu'ils ont deja tellement besoin d'aide....
Tu vis dans une region ou il me semble ces gens la sont tres nombreux...et tout ca me fait rire...
Tout le monde serait beau , tout le monde se tendrait la main.... lol
Et je n'emmerde aucun greviste....

et pendant c'temps la "y a la toute vieille... qu'n finit pas d'vibrer... et qu'on attend qu'elle creve, vu qu'c'est elle qu'a l'oseille, et qu'on écoute meme pas c'que ses pov'mains racontent...
Faut vous dire Monsieur Que chez ces gens-là On ne cause pas Monsieur On ne cause pas on compte!"