Des mots, des maux....

ca fait plaisir de t'entendre dire ca !!!!

mais qui est ce fameux soleil ?

ne serais ce pas le rayonnement de ton ecran de PC???

non, pour une fois ma vie ne tourne pas autour de mon pc

y'a quelque chose de nouveau dans ma vie... c'est en train de se creer... et le soleil arrive en meme temps qu'elle

il viendrais aps de nice le soleil???

punaise en fait elle me manque vachement trop

ah! ne serait-ce pas une jolie : [#{|-è' ???

Bon, je sais pas pourquoi, mais c'est ma période petits poèmes, alors je vous en met un (mon premier de la période! mdr)

(en fait le début par d'une question dans un texte posée au protagonniste : qui es-tu? ou un truc dans le genre)

Je ne suis rien
Un esclave du travail
Qui obéis et fais ses leçons
Sans pensées ni avenir
Mais me vient un petit sourire
Quand le soleil m'éclaire de ses rayons...

Bon, là ce que je vais vous mettre, c'est une partie d'un poème (perso, c'est celle que je préfère, donc je ne met que celle là.)
C'est pour une copine qui aime un certain thomas donc je lui ai écrit ce que j'aurai ressenti à sa place :

Je suis mal
Je ne pense qu'à toi
Moi qui suis si banale
Je t'aime Thomas

la force de la simplicité ! c'est très joli Flot !

Le dôme mal arrondi de cette pyramide
Eclaire comme le jour toute pensée limpide
Nul ne peut échapper à l’œil inquisiteur
Les codes sont gardés, coffrés à l’intérieur.

Moins palais que pagode les caméras sont là
C’est la papa razzia de la Mona Lisa
Les bras m’en tombent, sur ! Comme ceux des statues
On y voit tout et rien, proche du temps perdu.

La muse est bien partie mais le musée lui reste
La culture a un prix celui que l’on déteste
Agence touriste j’écoute ! L’art est bel et bien mort
Mais au moins l’enterrement se fait en beau décor…

C’est quand que j’vais partir
C’est quand qu’tu vas m’sourire

À coups d’ciseaux
À coups d’marteaux
J’voudrais taper dans ton coeur
J’voudrais t’crever d’bonheur
À coups d’machettes
À bons renforts de mitraillettes
J’voudrais entrer dans ta p’tite tête
De sale gosse qui n’en fait qu’à sa tête

C’est quand qu’tu vas m’aimer
C’est quand qu’tu vas m’embrasser
C’est avec toi qu’j’voudrais partir
Découvrir un bout du monde
Découvrir le goût d’la vie
C’est quand qu’tu vas m’emporter
J’voudrais entrer dans ta ronde
J’voudrais m’nicher au fond d’ton lit

À coups d’amour
À coups d’folie
J’voudrais taper dans ton cœur
J’voudrais t’crever d’bonheur
C’est pour quand nos toujours

C’est quand que j’vais partir
C’est quand qu’tu vas m’sourire

terrible naila

merci k-rotte

je veux
de tes mots me parer
éclore un peu plus chaque jour
un peu plus de toi
encore une fois
l'écho de ta voix
une douceur émanée
devant mes yeux prosternés

je veux
encore encore
te murmurer

odeur de bougie
saveur de mes envies
faire de toi et de moi
rien qu'une fois ce nous emmêlé
rien qu'une vie à exister
des mains à caresser
de ton regard m'environner

je veux
de ton corps m'habiller
toujours encore te rêver
enfin oublier mes doigts
en effleurement de tes lèvres
me noyer à sombrer dans tes accords
jusqu'à c'que j'en crève
et te murmurer encore encore encore...

je veux
encore encore
te murmurer
encore...

k-rotte........ idem

que vienne le vent
que vienne la rage
j'ai le coeur qui s'écroule
que vienne le temps
où j'ai plus d'âge

du vent du vent
attend souriant mon naufrage

j'ai le corps en boule
le feu de ces yeux
me ramène au présent
le temps bien affaissé
de tout c'que j'dois effacer

du vent du vent
attend souriant mon naufrage

des bouts de silence qu'écrasent
de tous ces mots muets
attendus tant attendus
jamais ils sont venus
juste des mots à lire
juste des trucs à dire

du vent du vent
attend souriant mon naufrage

une réponse qui s'est tue
sentiments bien écrasés
j'ai cru qu'j'étais aimée
vraiment j'sais pas pourquoi
et là, y'a plus qu'mes doigts
qu'enserrent ma tête de rien

du vent du vent
attend souriant mon naufrage

reste qu'il reste demain
même si j'en veux pas
y'a ton vide pour moi
désert qui m'enroule
dans mes yeux s'écoule

du vent du vent
attend souriant mon naufrage

me dégomme
et m'assomme

des mots de trop

en réponse à ceux reçus aujourd'hui........... pffffffffff !

Avouer que tout est perdu
Quand meme le cri des morts s'est tu

L'etre Ange n'apparait plus
Le souvenir et le déchu.


Un déchet désséché que j'aurai repéché
Un soir de vague à l'ame sur le bord du rocher
Et coeur et corps encore, bout de chou et l'écueil
Le cueillir, épuisé, te sentir sous les feuilles.

Bout de chair qui s'ébat, ne bat plus que là bas
Et tous ces ronds dans l'eau de la mer au-dela
Ne sont que des sursauts qui sussurent en ciment
Qu'les amants ne s'aimant, pluvieux tel est le temps.

Plus rien ne s'ra pluriel comme avant c'était mieux
Pleurer en ritournelle le retour d'ailes et d'yeux
Mouillés dans la grand'salle immense et ment, salis
Qui s'allient pour un kiss de mon inconnue nuit.

Le miroir est sur off, débranché sans offrir
La souffrance et l'absence et l'abcés de s'haïr
Non non ça ira pas, l'ire est deja livrée
Comm' le grain a germé en mon sein, j'ai armé.


L'etre Ange n'apparait plus
Le souvenir et le déchu.
Aujourd'hui et demain
Décapés à la main
Rescapé... de rien.


Champagne accompagné d'un serment serviteur
Huit heures pour le souffler, la bougie qui s'y meurt
Six meutres pour un judas, apporte-moi le glas
D'un malheur en son nom, le judas mourira

Bien plus loin que l'avis d'un boudeur avec toi
Ca ne vaut pas la peine de l'appel à un roi
Sans couronne et couloir je cours et je me nois
Par à-coups c'est méchant dans les temps de ton bois.

Difficile cet accés de secours en colére
Amertumer ces eaux d'un petit gout de terre
Minable en france inter, l'onde ne boug'ra plus
Là entre deux os j'erre, Jaugez vous cet ému ?

Emultion en pulsion, des mots cons en motion
Censure les mains c'est rouge car vivants nous étions
Ciseaux pour se noyer, beaucoup trop à mon gout
Verne l'aurait pensé, toujours aller au bout...


L'etre Ange n'apparait plus
Le souvenir et le déchu.
Aujourd'hui et demain
Décapés à la main
Rescapé... de rien.


Désamiantage offert de la cervelle à l'air
Des amants sages experts désamantage cerbere
Terminado total, l'ado ration finale
Se tait en ce passage et pourrit piedestal.

Tripot sans table y est jettée l'éponge encrée
Mal-famé affamé, fermer l'estaminet
Exterminer l'ancien, le neuf ne vaut pas plus
Que le veau en velin quand tu auras tout lu.

Voila l'acte est signé, je vois la voie lactée
Vendue mon ame Audiard je fais une rime en é
Plus rien à foutre en sus de ces mots incongrus
Eparpillé bientot façon puzzle en abus.

En habits du dimanche, le fond je m'en approche
Dix manch' pour un habit et pas beaucoup de poches
Offrez moi la revanche, l'eau m'interpelle déja
Sans alcool est la mort, la pelle est au jaja.


L'etre Ange n'apparait plus
Le souvenir et le déchu.
Aujourd'hui et demain
Décapés à la main
Rescapé... de rien.


Oublié les aurevoirs
On enterre mon cerveau laid
Ya pas d'morale à mon histoire
Des mots qui ralent en barbelés