| | j'ouvre ma gueule ( bien fort...) | |
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Le Clown Wadäcoreur
Nombre de messages : 307 Localisation : derriere le periph' Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: j'ouvre ma gueule ( bien fort...) Mar 5 Juin - 11:48 | |
| Ça ressemble à une anecdote, mais en fait ça pousse un peu plus loin…
voilà, avant-hier je marchais dans les rues avec un pote, j’avançais en sifflotant, et mon pote se met à siffler avec moi et là je m’aperçoit que nous sifflotions tous le deux… du goane ! ( no less…) le thème de « j’ai rêvé » pour être exact. Interloqué - allons-y même pour estomaqué - je lui demande comment il connaît ça, je me dis que c’est pas possible, que je dois rêver ou que vous passez enfin en radio… il me répond : « ça fait des mois que tu siffle ce truc de musique classique » ( trop fort…).
Fin de la pure anecdote on rentre maintenant un peu plus dans ma réflexion : sur le moment j’ai trouvé étrange de siffler cet air surtout depuis aussi longtemps sans en être conscient. car c’est loin d’être une de mes chansons favorites sur « . la peine de penser », très loin même. Je trouve que les paroles n’ont pas l’élégance de celles des autres chansons. Je les trouve naïves (ce qui semble être une volonté de votre part, puisque elles sont dite majoritairement par des voix de mômes probablement pour appuyer le coté naïf ) et j’aime pas trop la naïveté… Il y a même des paroles/rimes que je trouve « grossières » o.k, le mot est un peu fort, mais bon pour exemple : « Il n’y aurais plus de racket pour une casquette / Et on serais tous ami pour faire la fête » j’ai carrément du mal… donc je me suis posé la question de pourquoi donc sifflote-je ce thème ?
auto-réponse immédiate : par ce que c’est un des plus beaux thème musical qu’il y ait, et là je ne vous parle plus de votre album, je vous parle de musique en général tout styles confondus, et j’en ai entendu de la musique, j’ai grandi dedans, et bien figurez-vous que celui-là est vraiment l’un de mes favoris. Oui monsieur, oui madame, parfaitement… je siffle ( mal ) du Prokofiev, du Bartok, du Schubert, du Pink-floyd, du Malher, du Fauré, Du Miles Davis, du Stravinsky… et du goane ! o.k ? Il n’y a rien de naïf à aucun moment dans la musique de « j’ai rêvé » mais il y a une mélancolie palpable, une tristesse très profonde et très classe, très sobre, indéfinissable… une intensité émotionnelle très forte et en même temps très fine, ça c’est très rare ( et je pèse très beaucoup mes mots…). Ce qui fait que chanter dessus est strictement inutile, d’ailleurs vous ne vous y trompez pas, petits malins, le texte est dit, conté mais pas chanté. ( o.k… le seul chant est la scie vocale de joe mais là c’est déjà plus du chant… on dépasse même la voix, Ulysse devait entendre ça enchaîné à son mât ! ) donc en fait le thème musical est tellement puissant qu’a mon sens aucune locution, aucun mots, aucune syntaxe d’aucune langue vivante ou morte ne peut s’y mêler. Vous pourriez mettre le plus beau poème du monde dessus qu’il ferait au mieux « pas à sa place » et au pire « balourd » ou « ringard » là dedans. Le verbe et les mots ont leurs limites. Cet air de musique est plus que suffisamment expressif par lui même. Vous avez pondu un truc superbe avec ce thème, et je suppose qu’évidemment vous en êtes conscients.
Comme le disait mon pote c’est de la musique classique ( et, putain, c’est pas peu dire !). Je pense même que, si il n’y avait pas le textes qui « intervenait » en me cassant le délire j’en chialerai. En fait juste le titre si l’on y rajoutais « que tout était gratuit » suffirait pour donner la piste, l’axe, ensuite il n’y aurai plus qu’à prendre tout ça dans la gueule, dans les tripes et dans le cœur. ah ! et donc voilà la conclusion de mon auto-émotivo-réflexion :
the more is the less… ce thème peut exprimer tellement plus que ce qui est dit dans les paroles, qu’elles fonctionnent ( à mon humble avis de Clown non-musicien ) comme un parachute, un frein, un décompresseur à émotions… (musique ou chanson ? bordel, j’ai toujours pas de réponses et des morceaux comme ça ne sont pas prêt de m’aider à trancher…) ce qui fait que le titre n’est pas du tout dans mes préférés sur l’album, mais le thème… le thème est tellement émouvant… que je rêve d’entendre une version jouée par un orchestre symphonique… ( foi de Clown « la vie de ma mère » ce serait autre chose que les daubes type F.Pagny des night of the prom’s de mon cul ) donc je le siffle souvent comme je siffle du… vous avez compris ?
bon ben je vous parlerai de « le bateau » une prochaine fois par ce que j’ai beaucoup à dire sur celui-là aussi…. | |
| | | Patlelfe **Partizan du Zor**
Nombre de messages : 2868 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 05/07/2004
| Sujet: Re: j'ouvre ma gueule ( bien fort...) Jeu 7 Juin - 1:52 | |
| Mr Le Clown : TOTAL RESPECT !!! Moi, je ne suis qu'un (qu'une) blond(e)....... Mes avis, mes idées, mes émotions....elles existent....mais je suis incapable de les transmettre. Je sais pas trouver les mots, et, la plupart du temps, j'ai même pas envie d'essayer de les chercher......(les mots) Je me contente de ressentir les choses.........et de les garder pour moi.... Mais là......ben ca me fait quelque chose. J'ai l'impression d'avoir lu ce que j'aurais pu écrire si j'étais intelligent et cultivé..... Tout ce que je peut dire, de mon point de vue, c'est qu'a chaque fois que j'écoute ce titre, ben je le repasse en boucle, quelques(plusieurs) fois dès que les paroles s'arrêtent........comme s'il m'en fallait plus... plus de la mélodie......plus de la musique.....Plus de ce plaisir..... j'aime ce titre, mais je l'avoue, ce n'est pas pour les paroles...... | |
| | | Le Clown Wadäcoreur
Nombre de messages : 307 Localisation : derriere le periph' Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: Re: j'ouvre ma gueule ( bien fort...) Ven 8 Juin - 11:29 | |
| ben c'est peut-être que t'ouvre pas ta gueule assez bien fort monsieur l'elfe... j'suis blond aussi, pas spécialement cultivé ,ni intelligent d'ailleurs. en plus ça fait à peu prés deux piges que j'ai l'album donc ça à eu le temps d'infuser en moi tout ça...
le bateau, donc… tout d’abord laissez-moi vous dire que je trouve dommage qu’il n’y ai pas de version studio. par ce que le live, c’est bien… quand on y est ! (surtout que pour cette chanson précisément je me méfie du live mais je vous expliquerai pourquoi à la fin ) je n’ai jamais bien senti les vibrations musiciens/public, quand elles sont gravées, et ce n’est pas une question de prise de son. mais tout simplement d’ambiance… c’est un peu comme les retransmissions de théâtre à la télé, l’image est nickel et le son aussi mais c’est cette absence de vécu à 360° qui amoindri la performance. c’est comme manger des petits fours sans ni les voir ni en sentir l’odeur l’essentiel y est certes mais c’est… frustrant ! bref, alors le bateau c’est : deux minutes et trois, quatre secondes de pure émotion. la petite rythmique au tout début de l’intro, faite avec je sais pas trop quoi (encore une de vos bidouilles) m’évoque la temps qui passe, la pendule, le chronomètre, déjà l’attente. puis la clarinette avec ce truc très chaloupé me fait penser aux vagues de l’océan, mais des vagues encore calmes, pourtant je sens que quelque chose couve, que ça va venir… et l’accordéon démarre comme la machinerie du bateau qui se lance, mais ça semble être un moteur triste, qui tourne presque à contrecœur et qui prend le large comme par la force des choses en sachant très bien que quelque chose ne va pas. je sais déjà que ça ne va pas être du tourisme, pas une croisière autour des îles ni une ballade le long des quais. Alors arrive le chant, presque sucré dans les toutes premières mesures, qui vient nous dire comme une confidence qu’on y est pas… sur le bateau. et tout s’emboîte alors et l’harmonie presque viscérale se développe les creux de la mer s’amplifient dès que les flammes s’éteignent et tombent, alors les vents se lèvent et ce qui semblait être une confidence au début devient une plainte douloureuse d’où naissent les remous et pas que ceux de la marée, ceux du sillage des hélices du bateau, ceux du ciel sous la tempête qui se forme, ceux de l’âme qui souffre mais qui lutte et là ça y est on est dans le vif du sujet au cœur du drame et j’ai rien vu arriver. je suis sur le ponton à regarder ce bateau hors d’atteinte avec ce goût de rendez-vous manqué dans tout mon être. la voix qui se module et se nuance tout au long du non-voyage est entre la prière, le cri, la résignation et la rage sourde, montant et descendant comme, encore une fois, les creux et les vagues du grand large. La clarinette n’est plus le mouvement calme des vagues son phrasé s’exprime, se module et se nuance à son tour, elle descend très bas et monte plus haut jusqu'à cette note qui expire, qui s’arrache à elle même, qui rappelle un couinement, ou un truc détraqué dans la machinerie ou bien la crête qu’on passe et plein d’autres trucs… et l’accordéon prend de la puissance comme le moteur qu’il est et il semble rugir pour arracher le bateau à la plainte de l’esseulé. et c’est un lien très fort qui va être brisé. une évidence qui va être démolie. une unité qui se divise, se morcelle. Un déchirement strict. C’est la chanson de l’échec, du départ manqué, celle qui voit son avenir s’enfuir comme sa vie chavirer et dont l’espoir fait naufrage en direct. et à travers tout ça, il y a l’attente d’un demain peu probable porteur d’un « peut-être » évidemment illusoire, je ressens la pénibilité d’un futur quotidien qui va être passé dans les bars attenants aux docks ou l’on se noie dans la mauvaise bière et les plaisirs vains. mais la tempête n’est pas ouragan et tout s’arrête dans un decrescendo à la fois doux et rapide comme la silhouette d’un bateau qui disparaît à l’horizon. un anéantissement… semblable a ceux après une trop grande résistance de la volonté. deux minutes et une demi poignée de secondes… ouais, c’est un grand et beau moment. alors entendre tout ça à chaque écoute, ça me remue, vous avez pas idée... la meilleure preuve est d’ailleurs que quand vous la jouez en vous mettant dans le public, instinctivement, je cherche à m’éloigner le plus possible comme pour ne pas suffoquer sous une émotion trop puissante. dans cette compo, à mon sens, il n y a rien à jeter (à part son mouchoir). c’est une chanson que j’aime et redoute beaucoup, vraiment beaucoup. une de mes favorites. merci de faire ça… les frissons et tout, Merci. | |
| | | Le Clown Wadäcoreur
Nombre de messages : 307 Localisation : derriere le periph' Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: Re: j'ouvre ma gueule ( bien fort...) Lun 11 Juin - 13:53 | |
| love relish, messieurs, mesdames…
alors voilà une chanson toute à fait étrange ! pourquoi l’anglais ? je pourrai me poser la question et en tirer mille et une théories, mais je prend les choses telles qu’on me les donne, j’ai même pas cherché à traduire les paroles il y en a pas mal dans la chanson que je ne comprend pas, je ne fais pas d’étude de texte, je me contente de ressentir donc à mon auto question de « pourquoi l’anglais ? » je m’auto répond : par ce que pourquoi pas…
l’intro me fait penser à une usine à gaz ou ce genre de truc plein de tuyaux, de réservoirs, d’engrenage, de pistons, de courroies distendues, de mécanismes grippés… nan… c’est à grand manège comme ceux des chevaux de bois à plusieurs étages en fait que ça me fait penser. mais un qui serait tout pourri, qui jadis fût grandiose et qui à présent serait absolument hors d’usage où tout serait un peu détraqué, bancal, piqueté, bouffé par la corrosion et sur laquelle les mauvaises herbes et la mousse auraient commencées à reprendre leur droits et cette grande construction anciennement magnifique redémarre doucement dans son état de délabrement actuel. Inexplicablement… fonction par fonction, secteur par secteur, semblable à un corps qui sortirai lentement du coma, un immense corps de métal ou bien « métallisé » que l’on découvre quand la voix avec son effet dessus (sustain ? disto ? flanger ? reverb ? très léger delay ? quoi donc ?) se pointe, étrange, mystérieuse, venue d’un autre monde, d’un autre temps. donc j’assiste au réveil d’une sorte de grand automate qui aurait été superbe, flamboyant en son temps mais qui à présent constate sa propre désolation ainsi que celle qui l’entoure.
dans cette chanson là, chose peu courante chez vous, c’est la voix qui fait toute la mélodie, la musique étant plus proche des gimmicks hypnotisant que d’une expression mélodique, c’est très rythmique sans être non plus de la simple cadence, c’est plus compliqué que ça, plus « tordu »… l’impression de« manège mort vivant » que donne l’instrumentation est aussi renforcé par l’aspect sonore métallique mais pas « métaleuse » de la voix dans cet ensemble. ça aurait pu être lourd, pesant, mais en mêlant les sons des instruments, de la voix, des bruits et des effets vous en faites un truc pas massue du tout, pas plombant, c’est même plutôt subtil et (encore une fois) riche de nuances z’avez du bien vous marrer à la mixer celle-là… il y a une sensation de centre de gravité très dense, très bas et pourtant il y a une impression de déplacement presque aérien par moment. et tout ça m’évoque ni plus ni moins qu’un truc mi-mécanique mi-magique, un truc assez indicible en fait , que j’ imagine animé de mouvements assez lents mais un peu imprévisibles comme une roue ovale et voilée qui tourne… pas rond, mue par une force inexplicable et inquiétante… ça me fait froid dans le dos, un sentiment de léger malaise, proche du délire rétro-cyberpunk de la fusion de la chair et du métal, croisé avec un je ne sais quoi de surnaturel, d’outre tombe dans un monde post-futuriste désert et glacé à l’allure de fêtes foraines à l’abandon, aux manèges et aux trains fantômes en ruines et où tout n’est qu’épaves. froid, bleu et nocturne.. le tout sonne d’une façon évidemment angoissante mais aussi particulièrement romantique. (les grands romantiques sont pétris d’angoisses…) c’est très bizarre, un peu menaçant, puissant, faussement détaché, remonté/ pas content, très déstabilisant et tellement « extraterrestre » que l’on ne peut s’empêcher de le contempler. et je pourrai en dire encore beaucoup…on va écourter…
bon, putain ça a de la gueule, ça fonctionne carrément bien. c’est une ambiance en soi, une réussite complète. . j’aime beaucoup love relish pour tout ça …. et aussi par ce qu’elle est étrangère aux autres compos de l’album. différente. Probablement par ce qu’elle est intégralement en anglais et par ce que l’effet sur la voix n’est finalement pas qu’un effet mais bel et bien l’application d’une logique de cohérence… et aussi tout simplement par ce que c’est une autre facette De goane. un peu comme un auto-guest schizophrène sur votre album. et qu’elle vaut plus que le coup d’oreille aussi par ce qu’elle démontre que vous ne confondez pas style et procédés, voie et ornières, que vous transmettez votre univers sans vous scléroser dans une recette tout en sachant garder votre saveur, votre goût…(tiens donc !) et tout ça de façon irréprochable, mature et pro. chapeau donc…encore une fois. | |
| | | Le Clown Wadäcoreur
Nombre de messages : 307 Localisation : derriere le periph' Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: Re: j'ouvre ma gueule ( bien fort...) Ven 15 Juin - 12:09 | |
| Vieux con… Alors ça, c’est de la chanson à texte (et à vocabulaire). Sauf qu’une fois encore c’est pas du simple crincrin-quatre-accords-trois-instruments derrière le chant donc pas de la simple et bête chanson comme on en nous abreuve à longueur de temps, Ben ouais, hein, là c’est encore avec du relief dedans, de la profondeur… c’est goane, quoi… d’abord le texte est une tuerie à tout les sens du terme. Pas de rimes facile, c’est cohérent, élégant, bien méchant, jamais vulgaire, bref du texte qui tabasse. Autant j’ai des réserves sur certains de vos textes autant celui là je m’incline. J’ai même, allons-y, un genoux en terre. C’est un texte que j’aurai aimé écrire. Ensuite le chant avec toute les nuances de voix qui vont du moqueur-sucré au las-écœuré en passant par le cynique-dédaigneux et d’autres encore… puis la mélodie du chant et son développement… c’est bon ça… pas du gnagnagna-refrain-gnagnagna-refrain-pont-refrain-gnagnagna-refrain, non, pas de ça chez vous… ça chante pour de vrai, ça dit pour de vrai ça me parle donc pour de vrai. Cela pourrai passer pour de la démo genre « regardez ce que je sais faire » mais comme tout est complètement senti et ressenti et qu’il n’y a pas d’inutile ça ne sonne pas une seconde comme de la figure de style, ni de la fanfreluche mais de l’Expression avec un « e » majuscule. Une performance au sens noble. Et puis, la musique… bon sang que c’est riche… y a quand même du peuple qui peut aller se rhabiller et ventre à terre avec ça dans les esgourdes. La aussi ça tabasse. Je parlerai même pas du free ride de la clarinette, allez si quand même mais juste pour dire qu’on sent que ça sort pas de la fanfare municipale, ( ouais bab tu tue…grave) j’ai pas de mots assez puissant pour développer beaucoup plus… allez, si…encore douze mots : tu veux pas aller filer des cours aux jazzeux chiants, steuplé, barbara ? tout est balaise là dedans, tiens, même le kazoo, c’est genre la guimbarde ce truc-là y a neuf chance sur dix que ça sonne pourri mais là c’est du kazoo de compet’ c’est autre chose que la chanson d’ annie cordy, faut savoir chanter pour sortir un truc potable avec ça.. si on peut faire plus avec ce bidule que ce qui est envoyé dans cette chanson, je veux bien savoir comment... La basse est très libre aussi c’est pas qu’une simple ligne à la con. l’accordéon est rythmique sans être un énième poum-poapa-poum-poapa il est digne. idem pour la gratte, toute pleine d’énergie, de nuances, de finesses mais très simple avec ça. Modeste et subtile..( j’en ai marre de vous dire à chaque chanson que c’est subtil...) Alors harmoniquement tout ça fonctionne et même ça plus que fonctionne. Avec les accélération les décélérations et le relief…c’est costaud. L’ambiance cirque manouche de luxe est carrément séduisante. Donc récapitulons : le fond est très bon, l’interprétation est top. le développement du morceaux lui-même est très intéressant c’est assez dans ma conception de la musique…tension, détente. avec la dernière accélération et puis le calme qui reviens et le petit passage sifflé à la fin comme pour dire : c’est pas grave, t’es qu’un con de plus, on en a vu plein des comme toi, on est tranquille… je sais pas pour qui à été écrit cette chanson, mais le bonhomme en question se fait sérieusement casser la gueule. Il ramasse cher. Je pense qu’on peut tous se reconnaître plus ou moins dans cette chanson, Moi-même je m’y reconnaît ( avec horreur) par moment Mais tout collectionner, jusqu'à devenir comme celui qui est décrit est mon angoisse… nul n’étant vacciné contre la vieuconnite… celle-là aussi est dans mes toutes-favorites… | |
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